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Contrairement à ce que la majorité des patients croient, le succès d'un régime ne vient pas uniquement du régime lui-même. Sur le court terme la méthode X vaut probablement la méthode Y:
Manger moins
 Manger mieux
Et tout est dit ...
Alors pourquoi sur le long terme, tant d'échecs ?

Il est toujours intéressant de laisser parler la personne désirant maigrir pour y déceler à travers la manière dont elle s'exprime des indices sur l'état de son mental. Souvent la personne aux motivations fragiles va s'exprimer de manière négative.
Elle va également poser ses propres conditions :
"Je voudrais maigrir mais ... je ne veux pas que ce soit contraignant"...
"J'ai beaucoup de repas d'affaires"...
"Je ne peux pas imposer mon régime à mon mari et à mes enfants" etc...

  Tous ces indices montrent la fragilité de la motivation; pour être plus sévère nous pourrions dire que cette personne construit déjà la justification de son échec.

Une autre difficulté peut-être souvent observée : Un décalage entre le désir de perdre du poids et l' image que la personne a d' elle même. Il faut, pour se motiver à long terme, arriver à s' imaginer avec 10 kgs de moins, changer sa garde-robe et peut-être son style.   Facile à dire ! Il peut être difficile (cela se comprend) de faire le deuil de ce que l' on est aujourd'hui pour devenir quelqu'un d' autre.
Le succès d' un régime peut-être provisoire par ce que, quand on se regarde dans une glace, on ne se reconnaît pas; mentalement l' image de soi n' est pas construite alors on reprend son image antérieure de "gros".
  
Il serait intéressant d' apprendre à chaque patient désirant maigrir et rester mince, à construire des ancrages positifs pour élaborer ses motivations sur du long terme. Il semble inconcevable de se contenter, comme le font certains ouvrages et certains professionnels, de recettes et/ou de menus tout préparés: une liberté alimentaire encadrée se doit d' être proposée, variable selon les individus mais restant comme il est écrit: encadrée! Chaque consultation devrait ainsi être l' occasion d'un échange constructif et positif entre le patient et le praticien.

En tout premier lieu on pourrait envisager de sortir de la relation culpabilisante et infantilisante (la plus commune, la plus facile) qui consiste comme à l' école à faire les gros yeux au malade trop gros, à faire des reproches à celui ou à celle qui n'a pas assez maigri  voire qui a regrossi. Cette relation parent-enfant, maître-élève favorise les résultats à court terme et souvent l' échec à plus long terme, car il sera très tentant de transgresser l' autorité, de braver l' interdit pour se prouver qu' on existe.   Il est beaucoup plus intéressant mais beaucoup plus difficile de bâtir une relation de partenariat entre le malade et praticien.  Pourquoi plus difficile ? Parce qu'il faut apprendre à mettre le patient en valeure, lui faire prendre conscience de son rôle (donc de le sortir de son attitude passive, assistée), de sa responsabilité en cas d' échec mais surtout en cas de succès. Le praticien devrait aider son malade à croire en sa réussite, à croire qu' il peut atteindre ses objectifs. Cela demande du temps, de la patience et de l' humilité. Peut être le médecin est-il la seule personne à pouvoir jouer ce rôle. Souvent le milieu familial est hostile, moqueur, au mieux indifférent. Si le praticien n' est pas la "personne ressource" qui va l' être ?

Nous n' avons pas la naïveté de croire que là est la clé d' une méthode infaillible. Une personnalité fragilisée ne trouvera pas longtemps l' énergie nécessaire à assumer un tel effort. Souvent les causes d' échec se trouvent dans une analyse beaucoup plus globale: difficultés professionnelles, sentimentales, stress, etc... Néanmoins nous avons pu constater que,  pour beaucoup de patients : déculpabiliser, responsabiliser, valoriser, inscrire la motivation dans le long terme donnent des résultats intéressants et encourageants.

SACHEZ QUE TOUT TRAVAIL SUR CES TECHNIQUES COMPORTEMENTALES IMPLIQUENT DE VOTRE PART UN PARFAIT ETAT DE RELAXATION: OUBLIEZ VOS SOUCIS ... même si cela est difficile ... TRAVAILLEZ  LES EXERCICES SUIVANTS  EN LES RÉPÉTANT D' UNE FAÇON JOURNALIÈRE JUSQU' A CE QU' ILS DEVIENNENT:
* DE NOUVEAUX AUTOMATISMES POSITIFS
* ET QUE VOUS PUISSIEZ VOUS DÉTENDRE
* A LA DEMANDE ET SELON VOS BESOINS !
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